Rencontre avec David Fraboulet, candidat CFE-CGC au Conseil d’Administration du CEA
En ces périodes troublées, la première garantie que le CEA serve au mieux l’intérêt de nos concitoyens en France et en Europe, c’est que ses composantes productives, à savoir les employés à tous niveaux, soient respectés et partie prenante de l’effort collectif sur des programmes cohérents motivants et bien compris de tous.
Je suis convaincu de pouvoir contribuer à la défense des salariés du CEA, qui constituent sa première richesse, dans l’intérêt de tous et aussi de l’efficacité de l’organisme.
Après une expérience de terrain variée de plus de 20 années, de conseiller à la direction de DRT ainsi qu’en support à la direction du CEA, pour y assurer l’interface avec les équipes opérationnelles, j’ai de surcroit une expérience internationale, une expérience industrielle de 5 ans (ST microélectronique) et une expérience de 3 ans en interministériel au sein de la Direction générale de la recherche et de l’innovation (DGRI).
Ces expériences variées assorties d’une bonne connaissance de l’activité (fusion nucléaire, micro-électronique et système d’énergie) et des acteurs du CEA seront des atouts précieux pour appréhender les évolutions et enjeux en cours, et de peser dans les décisions du Conseil d’Administration (CA) du CEA.
Le but est de dessiner une trajectoire future qui respecte tout un chacun : qualité de vie au travail, charge de travail, et le sens de nos programmes pour parvenir à un plan de décarbonation, une sobriété énergétique et des usages qui rendent un avenir désirable…
Ceci sera possible très concrètement lors des séances du CA portant sur les contrats d’objectifs et de performance, le budget ou encore les projets de contrats, de marchés majeurs et stratégiques ainsi que les projets d’accords internationaux.
Je vous remercie de la confiance que vous accorderez en votant pour ma candidature et celles de mes autres collègues qui sont parrainées par la CFE CGC via la liste « NOTRE ENERGIE POUR VOS EMPLOIS ».
Rencontre avec Annick Millet et Jérôme Pace, candidats CFE-CGC au conseil d’administration.
Annick, quel est votre parcours au CEA ?
Annick : je suis actuellement ingénieure en sureté des transports de matières dangereuses au CEA de Marcoule.
J’ai fait ma carrière au CEA, et je suis fière de travailler dans cet organisme de R&D mondialement connu dans le domaine du nucléaire, de la santé, des énergies renouvelables, et pas que.
Je suis aussi vice-présidente de l’association WIN France qui fait la promotion des femmes dans les métiers du Nucléaire. Je suis membre du groupe les Elles de la Métallurgie de la CFE-CGC, dont la mixité au travail dans nos entreprises est une de leur action phare.
Jérôme, pourquoi nous présentons-nous à ces élections ?
Le Conseil d’administration est l’organe de gouvernance du CEA : il détermine les grandes orientations de l’activité du CEA et veille à leur mise en oeuvre. Il délibère sur les sujets définis par le code de la recherche. Cette instance décisionnelle dont la Direction du CEA suit les délibérations, oriente la politique et les programmes futurs du CEA.
6 représentants du personnel, élus pour cinq ans siègeront au Conseil d’administration du CEA qui comprend 18 membres.
Participer à cette instance, ces orientations est très important pour tracer l’avenir de notre maison CEA. On se sent utile et responsable du futur du CEA et de ces 20 000 agents. C’est une grande responsabilité de siéger au CA du CEA, nous l’assumerons.
Nous sommes fiers et enthousiasmes de représenter la CFE-CGC, et nous engageons à vous informer régulièrement sur le travail et les délibérations du Conseil d’administration du CEA.